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25 avril 2015

RUSSIE: salut pour l'EUROPE ?

La Russie, un modèle pour l'Europe?

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© Sputnik. Pavel Lisitsyn
ANALYSE
18:18 22.04.2015(mis à jour 18:44 22.04.2015) URL courte
Pavel Ivanov
2286462
Les philosophes russes et occidentaux réunis au forum de Kaliningrad pensent que la Russie est en train de devenir le leader informel de tous les Européens qui apprécient leur histoire et leurs traditions. C'est exactement cette union entre la Russie et l'Europe qui fait le plus peuRésultat de recherche d'images pour r aux ÉtaRésultat de recherche d'images pour ts-Unis.Résultat de recherche d'images pour Résultat de recherche d'images pour
Le Déclin de l'Occident: aujourd'hui, cette expression n'est plus seulement le titre du célèbre ouvrage philosophique d'Oswald Spengler, mais désigne aussi la nouvelle réalité. Même selon les Européens. Dans les milieux intellectuels du Vieux continent, on entend de plus en plus souvent l'opinion selon laquelle le seul pays véritablement démocratique et européen est la Russie.

 

C'est elle qui, en sauvegardant un conservatisme raisonnable, protège et préserve les vraies valeurs européennes. Peu nombreuses, ces valeurs ont cependant permis à la plupart des pays européens de préserver leur identité pendant des siècles. Il s'agit avant tout de la famille, des traditions chrétiennes et de la culture nationale. C'est dans ces valeurs que beaucoup d'Européens voient la seule possibilité de rester Français, Allemands ou Italiens et de ne pas se dissoudre dans le flux de la mondialisation ou celui des migrants du monde entier.

Et c'est sur ces institutions importantes, sur ces fondements de la vie collective de l'Europe moderne que les élites expérimentent le plus. Tantôt, contrairement à la tradition, ils permettent aux femmes et aux homosexuels de devenir prêtres et même hauts dignitaires de l'Église. Tantôt, contrairement à la nature et au christianisme, ils élèvent les relations entre personnes du même sexe au rang de valeur absolue et presque principale. Ou encore ils approuvent ou ferment les yeux sur les nouvelles pousses du nazisme et de la haine contre l'humanité pour la seule raison qu'elles sont dirigées contre des étrangers. Sans parler des jeux politiques des États-Unis, dans lesquels l'Europe a l'habitude d'occuper une position passive depuis des décennies. Tout cela arrange la classe politique, à qui cela permet souvent de réaliser ses ambitions.

 

Cependant, ceux qui continuent à professer les valeurs traditionnelles en Europe sont clairement irrités par le rejet de ses racines. Après tout, le poisson pourrit par la tête, et les constructions étatiques et mêmes les empires, très solides à première vue, commencent à s'effondrer par une idéologie défectueuse et par la violation des valeurs morales fondamentales. Par exemple, en France ou en Allemagne, beaucoup de personnes veulent avoir de véritables relations alliées avec la Russie et se débarrasser de l'influence anglo-saxonne. Notamment, la presse française écrit que dans l'entourage et dans le parti de Nicolas Sarkozy, candidat potentiel à la présidence française, l'aile russophile s'est visiblement renforcée ces derniers temps. Les humeurs pro-russes s'accroissent également en Allemagne.

 

Au forum organisé par l'Institut d'études socio-économiques et politiques à Kaliningrad, le directeur de l'Institut des études européennes et internationales de Luxembourg, Armand Clesse, s'est exprimé très clairement, en consacrant son allocution à "la corruption intellectuelle et morale de l'Occident".

Extrait: "Nous sommes en présence des signes évidents d'une décadence des démocraties occidentales, l'Europe traverse une période de déclin relatif par rapport aux pays en croissance". Ces humeurs deviennent une tendance durable en Europe, et, bien sûr, l'élite anglo-saxonne utilisera ses forces de frappe pour les stopper. Elle craint l'union de la Russie avec les principaux pays européens parce qu'elle devrait alors oublier son rêve de domination mondiale.

 Grâce à la presse occidentale Poutine est devenu un surhomme



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/analyse/20150422/1015782916.html#ixzz3YJRZ5TQ8

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